Communication & psychologie sociale 2

Pour faire suite à l’expérience faite en cours voici, un aperçu rapide de la question de la comparaison sociale.

L’un des personnages importants en psychologie sociale, c’est Léon Festinger. Ce monsieur, a proposé une approche particulière de notre besoin, ou désir de nous comparer aux autres. La comparaison peut être vue comme une demande d’évaluation inconsciente de ses opinions ou aptitudes. D’une certaine manière, c’est ce que l’on appelle le jugement interne.

D’après Festinger quand nous n’avons pas de critères objectifs suffisant pour émettre notre jugement interne, nous nous dirigeons vers les autres (individuel ou groupal). C’est finalement ce que l’on nomme un « référent social ». Aujourd’hui le référent social n’est autre que l’ordre mondial des scientifiques. D’ailleurs écoutez les médias, dès qu’ils ont quelque chose à nous faire avaler ils nous disent : « notre expert scientifique ceci ou cela » il est toujours question d’un expert qui possède la science. Au Moyen Âge, les experts étaient les prêtres et l’église. Dieu était le référent social.

Ce besoin d’évaluation qui se doit d’être précis sous peine de provoquer de l’anxiété pousse chacun d’entre nous à certaines choses :

  1. Chercher un référent
  2. Ce référent se doit d’être semblable à moi
  3. Mais il doit aussi être supérieur à moi, paradoxe, il doit être mieux que moi pour que j’accorde du crédit à ce qu’il dit. Mais attention pas trop sinon… Cela devient de la tyrannie
  4. Qu’il m’apporte suffisamment d’information

Cependant des travaux plus récents ont nuancé ce propos en montrant :

  1. Que la cible (l’orientation) peut varier (cf. comparaison libre vs. Imposée)
    1. Comparaison ascendante, autrui meilleur que soi = s’améliorer
    2. Comparaison descendante, autrui moins bon que soi = rehausser l’estime de soi
    3. Comparaison latérale, autrui aussi bon que soi = valider, s’assurer que les gens pensent comme nous (cf. opinions).
  2. Que la comparaison est une source d’émotion, de ressenti (nous conduit parfois dans des états affectifs forts, notamment à l’égard de cette personne, forme de mépris, pitié ou désir).
  3. Que le choix de la cible de comparaison dépend aussi du type de question (du problème) posé.

Petit détour vers nos amies les émotions !

Un chercheur du nom de Schachter a cherché à ramener les différentes idées proposées plus haut aux émotions. Selon lui, les comportements de l’Homme (c’est-à-dire d’avoir besoin des autres) sont certes induits par une recherche de comparaison sociale. Mais ces comportements devraient disparaître à partir du moment où les personnes pourraient avoir un feedback vis-à-vis de leurs émotions mais aussi de celles des autres. Il n’y aurait pas « d’incertitude », pas d’inconnu dans l’équation. D’une certaine manière on parle ici d’un contrôle complet de l’environnement.

Des expériences ont été menées pour savoir si cela avait un véritable impact sur l’homme. Gérard et Robbie (1961 et 1963), ont démontré que c’était donc un mouvement d’incertitude qui poussait l’Homme à se comparer. De même du coup à s’affilier, avec le manque de feedback il est plus facile de se soumettre au groupe, si je pense comme eux, je suis dans mon bon droit…

Pour aller plus loin vous pouvez vous intéresser aux expériences de Milgram.

 

Conclusion générale :

  1. Le processus de la comparaison sociale est un mouvement qui pousse à la recherche de consensus et favoriserait le conformisme.
  2. Ce processus montre que nos perceptions, nos jugements, nos ressentis sont en grande partie relatifs aux groupes (ou aux personnes qui les représentent) servant à la comparaison.
    1. Si je me compare avec des amis qui partent pendant les vacances aux Bahamas je me sens malheureux = comparaison ascendante.
    2. Alors que si je me compare avec des amis qui partent en Bretagne (où il pleut souvent), je me sens mieux = comparaison descendante.

 

 

 

Communication & psychologie sociale

Introduction

Un peu de psycho dans la communication, pourquoi ?

Parce que la communication est, avant tout, une activité psychique d’interaction. L’être humain n’est pas un individu seul dans un monde qui lui appartient où il pourrait créer ses propres règles. Il est en permanence en interaction avec l’Autre. On met une majuscule à « autre », parce que cela suppose que la personne est différente de nous. C’est une idée qui peut paraître incongrue mais, pas tant que cela, en psychologie. L’idée que l’on puisse laisser une place à l’Autre n’est forcément une chose évidente et peut-être un point névralgique de la communication.

 

Question : mais de quelle psychologie allons-nous parler ?

Réponse : la psychologie sociale

 

Qu’est-ce que la psychologie sociale ?

Définition de la psychologie sociale :

À pour objectif de comprendre comment les individus se perçoivent et perçoivent les autres ; et aussi, comment ils se laissent influencer et influencent les autres ; s’entendent avec les autres

La psychologie sociale étudie la formation des premières impressions.

Rapidement pour certains chercheurs de psycho-sociale, cette discipline est une science… Pourquoi ? Quelle différence y a-t-il entre la psychologie sociale et le sens commun (croyances) ?

Elle propose une étude systématique et reproductible

  • Savoir moins subjectif
  • Plus cohérent
  • Mais pas infaillible (contrairement au sens commun qui n’aime pas être remis en question)

 

Elle a pour but de comprendre et d’analyse les processus cognitifs sociaux (c’est-à-dire les cognitions reliées au monde social ou l’interaction).

Note :

  • Les processus cognitifs sont des processus qui montrent comment notre mémoire, nos perceptions, nos pensées, nos émotions, notre motivation influencent notre compréhension du monde et guident nos actions.
  • Les processus sociaux nous apprennent comment les réactions de la part des autres, nous affectent. Par « nous affectent », on parle ici de notre capacité à penser, à exprimer nos impressions ou même d’entrer en action nos actions (la présence des autres et par extension les médias…)

 

Pourquoi est-ce important ou intéressant d’envisager cette matière ?

Tout simplement parce que la psychologie analyse la façon par laquelle nos pensées, nos sentiments, nos comportements sont influencés par la pensée imaginaire, implicite ou explicite des gens qui nous entourent. Ici nous pouvons prendre un exemple souvent entendu à l’université : « le prof a toujours raison et, ou il n’a jamais tort ». D’une certaine manière, les profs se jouent de nous à plusieurs niveaux.

 

Explication : être professeur c’est « automatiquement » être dans une représentation d’autorité. Mais cette autorité exprimée de manière écrasante peut (doit) généralement provoquer un sentiment de défaite, sentiment qui demande un changement. Ce changement, c’est la possibilité d’exprimer notre point de vue.

En imposant l’idée qu’il a raison, il impose explicitement l’idée qu’il pouvait, ne pas avoir raison. Ce qui pousse chacun d’entre nous, à nous questionner sur ce que le prof ou simplement la personne qui est en face de nous dit ( voir la vidéo sur l’effet Semmelweis).

Comme a pu le dire Moscovici en 1994, la psychologie sociale est une étude du « conflit entre l’individuel et le collectif ».

 

Petit Schéma n°1, qui résume l’idée de base de la communication :

 

Sujet (émetteur)        →            Objet (récepteur)

(Comment je réagis face à un objet)

Avec la psychologie sociale un nouveau regard sur l’interaction a été possible

Alter

↑                 ↑

Sujet   →         Objet

 

  • Réaction par rapport à Alter (nos croyances, ce qui veut dire notre expérience et le cumul de celles-ci ou comment un simple bruit de bois dans un mur devient la réincarnation de votre grand-mère qui communique avec vous)

Communication & lecture

Introduction

 

4 systèmes d’écriture (voir cours sur le langage pour revenir à la notion de système) :

  1. La pictographie : qui est le système finalement reconnu comme le plus simple. La signification est directement représentée par le symbole. Le symbole en lui-même n’est pas arbitraire : un chat est représenté par un chat.

 

  1. La logographie : ici on passe au niveau supérieur avec la question du concret et de l’abstrait. C’est-à-dire que certains signes peuvent exprimer quelque chose d’abstrait. Le chinois parfois est considéré comme une semi-logographie.

 

  1. Système syllabique : un signe représente une syllabe.

 

  1. L’alphabétique : en français vous avez 26 lettres.

L’alphabet apparaît vers -3800 av. JC et l’écriture -5400 av. JC. Contrairement à ce qui concerne le langage, le génome n’a pas pu se développer aussi rapidement pour accroître les circuits cérébraux pour la lecture. Mais alors comment faisons-nous pour lire ? C’est Dehaene qui propose une théorie sur le recyclage de zones cérébrales. Ce serait donc selon lui les mêmes neurones qui reconnaissent les objets et qui vont être utilisés pour reconnaître les lettres.

 

 

L’évolution du système d’écriture et de la lecture est très liée à notre capacité à communiquer. Plus les concepts deviennent compliqués et abstraits, plus l’Homme a eu besoin de changer le système anciennement utilisé, car trop contraignant. Par exemple, comme faire passer un message secret dans l’armée si les signes que vous utilisez sont lisibles pour tout le monde ?

 

À savoir :

 

Quand on lit, toutes les zones de l’œil ne sont pas utiles, seulement celle de la fovéa est réellement utilisée. Puisque c’est l’unique zone qui capte le maximum de détails, pour ce qui sert à la reconnaissance.

La conséquence de l’utilisation de la Fovéa pour la lecture, c’est ce que l’on appelle la saccade oculaire, pendant ce mouvement l’œil est en partie aveugle. Il est focalisé sur l’information importante, c’est-à-dire la reconnaissance des signes ou des symboles.

 

 

Il faut des compétences de lecture et de compréhension pour les activités de la vie quotidienne.

Pourquoi comprendre ?

« La lecture est spécifique à l’homme, qui constitue une de ses aptitudes les plus complexes qui intègre beaucoup de choses, le fait de maîtriser des techniques de décodages, de mises en correspondances, des lettres avec des mots, capacités à faire.  

Une analyse syntaxique, accès aux informations en mémoire, interprétations sémantiques, … Aptitude complexe : est fonction d’aptitudes plus basiques. »

 

Communication et compréhension … De quoi parlons-nous ?

 

Les chercheurs ont essayé d’identifier les processus et les opérations par lesquelles les informations sont traitées pour finir par une représentation. La représentation que l’on construit est une représentation des significations qu’exprime le texte quand on  le lit, et d’une certaine manière quand on parle aussi.

3 types de questions vont se poser :

  • Quelles sont la nature et la structure de cette représentation ?
  • Quels sont les processus et les opérations mis en œuvre pour la construire ?
  • Quel va être son devenir en mémoire ?

 

Il faut savoir qu’il y a plusieurs niveaux de représentations, selon Brandford, Barclay et Francks (1972) : « Le sens d’un texte ne se trouve pas en soi dans le texte, il est construit par les lecteurs ». Cela veut dire que pour toutes choses, il faut partir de l’individu pour comprendre la représentation et, plus encore pour comprendre les représentations qu’il s’est fait et qui structure ou construit son discours. Ce qui veut dire que les phrases ne sont pas simplement des faits que l’on débite mais qu’il y a quelque chose derrière ce que l’on appelle certes, de l’information linguistique mais, qui est relié aux connaissances que l’on a engrangées durant notre vie et qui nous permettent de mettre du sens à ce qui est énoncé.

 

3 niveaux de représentations :

 

  1. Représentation de surface : mot exactement employé
  2. Représentation propositionnelle : on peut remplacer par une paraphrase dans laquelle les mots et la structure syntaxique diffèrent mais, préservent le contenu sémantique
  3. Modèle mental : qui est au-delà de ce qui est énoncé par l’autre et par nous-même. Ici on fait référence à ce que l’on nomme l’inférence…

Ces différents niveaux sont importants, parce que cela nous permet de réagir autrement. Une personne qui ne comprend « le second degré » et qui n’a pas la capacité de comprendre l’humour, n’aura pas la même réaction… Comment acquiert-on cela ?

 

Qu’est-ce que l’inférence ?

 

  1. Les inférences de liaison assurent la cohérence, permettant d’établir des liens entre les énoncés successifs. Quand vous parlez de quelqu’un, vous utilisez en premier lieu son nom, puis vous direz il ou elle. Vous inférez que vous parlez toujours de la même personne. C’est pour cela qu’il peut y avoir des quiproquos.
  2. Les inférences « élaboratives » engendrent de nouvelles propositions, Elles peuvent être :
    1. Instrumentales
    2. Causales
    3. Prédictives

 

La connaissance va être un facteur important de la construction d’une inférence. Certaines choses vont paraître extrêmement logiques pour une personne et, pas du tout  pour une autre, parce qu’elles n’auront pas la même connaissance.

L’idée est que nous sommes tous plus ou moins experts d’un domaine et, que cette expertise au moment de la lecture permet d’intégrer les connaissances et de construire un modèle mental ou de représentation, et qui permet une représentation plus riche et donc d’avoir des récupérations plus efficaces.

 

« Comprendre implique la mémoire mais mémoriser n’est pas comprendre. »

 

Communication et Langage

Le langage

 

Comment parle-t-on ? Vous êtes-vous déjà demandé comment vous arriviez à communiquer avec les autres ? Pourquoi est-ce que je communique ? Qu’est-ce que je communique ? Voire, qu’est-ce que les autres essayent de me communiquer. En psychanalyse Lacan a dit qu’il n’y avait pas de communication, pourquoi selon certains penseurs nous ne communiquons pas ? Alors que c’est cette même personne qui a dit : parler c’est être, du coup on « parlêtre ».

Pour un adulte, il faut encore nuancer cette phrase, parler c’est une chose qui se fait facilement, vous réfléchissez et les mots viennent pour exprimer votre pensée. D’ailleurs tous les gens qui disent « je ne le pensais pas quand j’ai dit cela », eh bien c’est impossible en réalité, vous avez forcément dû le penser pour le dire. Par contre vous pouvez avoir des regrets de l’avoir formulé ou même cogité. Nous sommes humains et parfois la pensée peut être dépassée par la colère et c’est donc la vengeance qui nous motivait. C’est très tôt que l’on commence à véhiculer des idées, la première représentation, au final, c’est souvent Maman ou Papa, pour l’enfant. Ce premier mot est déjà une idée. C’est une démonstration de l’esprit de sa capacité à représenter indépendamment de soi un autre. Un autre que l’on peut appeler ou nommer. On peut donc avoir un pouvoir sur lui. Le langage s’installera normalement entre 2 et 4 ans et se développera tout au long de la vie. Nous apprenons de nouveaux mots pour véhiculer au mieux nos émotions, idées, pensées… Faire dans le concret ou dans l’abstrait.

 

Il faut savoir avant toutes choses que le langage est un système. C’est un ensemble organisé de principes coordonnés de façon à former un tout… On parle ici d’un système de communication qui permet de véhiculer notre monde interne par différents biais : parole/ écriture/gestuelle

 

Système Français

 

  1. 33 phonèmes
  2. 40 000 mots générés par ces phonèmes (lexique mental d’un individu, jusqu’à 50 000 avec les noms propres).
  3. Des milliards de phrases à partir de ces mots, tout au long de notre vie

 

Pour votre culture :

 

  1. Qu’est-ce qu’un phonème ?

C’est ce que l’on appelle une unité verbale. Le phonème étant le plus petit, le son de base, qui va permettre de composer un mot. Il y a des exceptions, normalement un phonème en lui-même ne compose pas un mot.

Attention le phonème ne doit pas être confondu avec la syllabe

Pour pouvoir développer les 33 phonèmes il faut s’aider d’éléments encore plus petits qui sont les traits phonétiques.

Les traits phonétiques sont :

  • Lieu d’articulation,
  • Le mode d’articulation
  • Le voisement pour les consonnes. (Le voisement est le fait de faire vibrer les cordes vocales)

À savoir :

  • Pour les voyelles, on a 4 traits phonétiques :
    • La nasalité : orale ou nasale (I = orale)
    • Le degré d’ouverture vocale : ouvert ou fermé
    • Le point de fermeture maximum : antérieur ou postérieur
    • L’arrondissement des lèvres : arrondis ou non

Une étude faite aux États Unis a démontré l’importance dans la facilité de véhiculer un message scientifique et la possibilité de lui accorder du crédit. Cette étude faisait la comparaison entre des gens qui parlaient avec un accent anglais correct et d’autres avec un accent de l’étranger. Il a été montré lors de cette expérience que les gens accordaient moins de crédit aux personnes avec accent, et, que pour réajuster le niveau, il fallait que ces personnes en faisant leur présentation s’excusent de leur accent. Cela vous renvoie à l’idée de norme et de conformisme.

 

  1. Qu’est-ce que les morphèmes ?

Le morphème c’est la combinaison des phonèmes, c’est la plus petite combinaison qui va avoir un sens ou une signification. Cela peut être une partie d’un mot comme le préfixe ou, le suffixe, ou autre, la combinaison des deux voir le mot en lui-même.

Il y a par contre 2 grandes catégories :

  • Les morphèmes liés qui existent toujours en combinaison avec un autre morphème (comme –re),
  • Les morphèmes libres qui peuvent constituer de façon isolée un mot sans être lié à un autre morphème.
    • Exemple :
      • Honteux –  morphème libre
      • Honte et un morphème lié -eux

C’est grâce à la capacité de manipuler les morphèmes que l’on peut créer de nouveaux mots. D’une certaine manière c’est la mécanique du néologisme… ou de l’équivoque dans le langage des oiseaux.

 

Note : On n’est pas forcément capable de générer 40 000 mots mais on peut comprendre 40 000 mots grâce à ces combinaisons.

 

  1. Qu’est-ce que la syntaxe ?

C’est notre capacité à combiner les mots. La syntaxe est différente d’une langue à une autre, elle est donc gérée par un certain nombre de règles qui sont elles aussi différentes du pays d’origine.

C’est grâce à cet ensemble de règles que l’on arrive à faire la distinction dans certains énoncés, exemple :

  • Un chasseur chasse un lapin
  • Un lapin chasse le chasseur

 

Ces règles, vous les connaissez c’est la grammaire. D’ailleurs très récemment en France et aux États Unis, il a été démontré que la grammaire est un processus universel. Donc que nous possédons tous une grammaire, c’est une composante de l’être humain.

(Voir Chomsky)

 

 

  1. Caractéristique universelle du langage, ou qu’est-ce que l’on peut appeler un langage ?

Pour cela il faut prendre en compte 7 points :

  1. La sémantique
  2. L’arbitraire du signe
  3. La productivité (combinaison)
  4. Le déplacement (représentation)
  5. La transmission culturelle
  6. L’usage spontané
  7. La double articulation (phonème/morphème)

 

 

Juste pour voir si vous suivez !

Je fais cette petite blague souvent en thérapie quand on me pose la question de ce que l’on apprend en psychologie… Je parle des cours les plus étranges que j’ai pu y recevoir, comme celui sur les abeilles… bonne lecture

  • La danse des abeilles

L’abeille fait une « danse frétillante » avec des caractéristiques différentes :

  • L’angle de la danse qui indique la direction de la source de nourriture en fonction du soleil et de la ruche.
  • Vitesse de la danse qui est inversement proportionnelle à la distance de la nourriture (plus la source est proche plus la danse est rapide)

On détecte différents dialectes chez l’abeille, ces danses ne sont pas les mêmes suivant la famille d’abeilles.

Michelsen construit un robot qui stimule une abeille danseuse : on observe que les vraies abeilles vont se déplacer vers la source, donc cela élimine que l’abeille utilise des indices olfactifs et que ce n’est que la communication.

 

Question les abeilles parlent-elles ?

Merci de répondre à cela en faisant un comparatif en 7 points tel que je viens de vous le proposer.

 

Conclusion

  • Le langage est universel, il n’y a aucun peuple qui ne parle pas.

 

« On a un système d’acquisition du langage inné et s’il n’est pas stimulé assez tôt on aura toujours des retards de langage. Le système est inné mais il a besoin de la stimulation de l’environnement pour se mettre en place. La flexibilité d’un tel système est importante ».

 

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